Poissons votre Horoscope de la semaine - du 2/09

Amour

Couples :
Le bel aspect de Vénus vous permettra de résoudre de façon satisfaisante certains problèmes de fond qui perturbaient votre vie de couple. Vous aurez à faire face à des difficultés concernant votre vie à deux ; mais si vous faites preuve de patience et de douceur, vous vous en tirerez superbement.

Célibataires :
Vous évoluerez probablement dans des eaux troublées ou agitées. Des événements imprévus pourraient surgir tout à coup, signifiant ainsi la fin d'un amour ou la mort d'une espérance. Vous aurez alors l'impression que l'amour ne pourra jamais plus être pour vous ce qu'il avait été naguère. Courage ! Laissez Vénus faire son oeuvre, et vous repartirez bientôt à la conquête de l'amour, le coeur intact.

Argent

Très bonnes influences astrales dans le secteur financier. Profitez-en pour consolider votre situation matérielle. Vous pourrez aussi envisager de nouveaux modes de placements à long terme.

Santé

Dopée par Jupiter, votre vitalité sera incroyable, bien supérieure à la moyenne. Vous la dépenserez naturellement en activités de toutes sortes. Attention tout de même ! Avec un tel débordement, vous risquez d'occuper l'espace vital des autres, en toute bonne conscience et avec les meilleures intentions du monde !

Travail

Au travail, concentrez vos efforts, vous y gagnerez et verrez plus clair dans vos entreprises. Malgré les difficultés, persévérez : les bons résultats ne se feront sentir que dans quelques petites semaines.

Famille

Vos relations avec vos proches, placées sous le patronage d'Uranus, ne devraient poser aucun problème en ce moment. Vos enfants revendiqueront peut-être une plus grande liberté, mais vous trouverez rapidement un compromis avec eux. Attention toutefois si un vieux conflit vous oppose à l'un de vos frères ou soeurs, ou à un cousin ; il faudra dans ce cas veiller à ne pas jeter d'huile sur le feu, sous peine de voir le contentieux s'envenimer encore plus.

Citation

"Il faut tendre la main à ses amis sans fermer les doigts" (Diogène le Cynique).